J’ai relu le début du volume 2 qui focalise sur Johann et ses années de gay défroqué dans les années 80 à Paris, c’est d’un autre niveau (je l’aime tellement)
Et c'était pas censé être un roman allégorique des luttes queer et de l'activisme mais écoutez, s'il le faut (je me marre beaucoup ET j'apprends autant, c'est cool)